Port 2000 est à quai
Port 2000 ne décolle pas. Le report des opérations de dragage et de terrassement immobilise sur le site des équipements lourds arrivés en urgence l’année dernière. Au cours d’une réunion tenue en avril 2002 au Port Autonome du Havre, le principe proposé par Robin des Bois d’une information régulière sur l’état d’avancement du chantier a été accepté. Le Port Autonome du Havre devrait donc diffuser publiquement des rapports d’étape dans le cadre de réunions organisées par la Maison de l’Estuaire.
Port 2000 est à quai
Port 2000 ne décolle pas. Le report des opérations de dragage et de terrassement immobilise sur le site des équipements lourds arrivés en urgence l’année dernière. Au cours d’une réunion tenue en avril 2002 au Port Autonome du Havre, le principe proposé par Robin des Bois d’une information régulière sur l’état d’avancement du chantier a été accepté. Le Port Autonome du Havre devrait donc diffuser publiquement des rapports d’étape dans le cadre de réunions organisées par la Maison de l’Estuaire.
Un port très autonome
Robin des Bois a écrit le 18 octobre dernier au Président de la République, au Premier Ministre, au Ministre de l’Environnement, au Ministre de l’Emploi et au Ministre des Transports pour demander une nouvelle fois qu’une étude globale des risques soit réalisée pour la zone de Port 2000, incluse dans le périmètre de l’effet thermique (boil over) du stockage pétrolier de la Compagnie Industrielle Maritime -CIM-. Malgré les déclarations consécutives à la catastrophe de Toulouse, l’État est resté muet à ces courriers ainsi qu’aux interpellations émises durant les débats régionaux de Basse et Haute-Normandie et le débat national sur les risques industriels. La CIM, qui sera coincée entre le nouveau port et le port existant, est soumise à la directive Seveso II. Cette directive dispose en outre que les installations portuaires, les pipelines, et les gares de triages peuvent être assimilés à des installations dangereuses. Le Port Autonome du Havre a annoncé la semaine dernière qu’une étude serait disponible “courant 2002”.
Un port très autonome
Robin des Bois a écrit le 18 octobre dernier au Président de la République, au Premier Ministre, au Ministre de l’Environnement, au Ministre de l’Emploi et au Ministre des Transports pour demander une nouvelle fois qu’une étude globale des risques soit réalisée pour la zone de Port 2000, incluse dans le périmètre de l’effet thermique (boil over) du stockage pétrolier de la Compagnie Industrielle Maritime -CIM-. Malgré les déclarations consécutives à la catastrophe de Toulouse, l’État est resté muet à ces courriers ainsi qu’aux interpellations émises durant les débats régionaux de Basse et Haute-Normandie et le débat national sur les risques industriels. La CIM, qui sera coincée entre le nouveau port et le port existant, est soumise à la directive Seveso II. Cette directive dispose en outre que les installations portuaires, les pipelines, et les gares de triages peuvent être assimilés à des installations dangereuses. Le Port Autonome du Havre a annoncé la semaine dernière qu’une étude serait disponible “courant 2002”.