Les errements de la déconstruction navale
Objet : Clemenceau
Après avoir formé le projet d’immerger officiellement le porte-avions Clemenceau, la Marine Nationale se trouve confrontée au maquis de la sous-traitance des ferrailleurs de navires. Parti de Toulon et attendu à Gijon, le convoi s’orienta donc vers la Méditerranée orientale.
Il n’est finalement pas sûr que l’ex-navire de guerre, contenant plusieurs milliers de tonnes d’amiante, des milliers de litres de pyralène et des résidus d’hydrocarbures trouve un démolisseur, sauf en Inde ou au Pakistan. Alerte ! A défaut d’immersion volontaire, une immersion accidentelle est vite arrivée. La politique de la Marine Nationale est ambiguë. Jusqu’à l’entrée en vigueur le 31 décembre 2004 de l’interdiction d’immersion de navires dans le cadre de la convention internationale pour la protection du milieu marin de l’Atlantique du Nord-Est, la Marine Nationale entend détruire plus de 50 navires au cours d’exercices de tirs liés à l’entraînement des forces navales.
Les errements de la déconstruction navale
Objet : Clemenceau
Après avoir formé le projet d’immerger officiellement le porte-avions Clemenceau, la Marine Nationale se trouve confrontée au maquis de la sous-traitance des ferrailleurs de navires. Parti de Toulon et attendu à Gijon, le convoi s’orienta donc vers la Méditerranée orientale.
Il n’est finalement pas sûr que l’ex-navire de guerre, contenant plusieurs milliers de tonnes d’amiante, des milliers de litres de pyralène et des résidus d’hydrocarbures trouve un démolisseur, sauf en Inde ou au Pakistan. Alerte ! A défaut d’immersion volontaire, une immersion accidentelle est vite arrivée. La politique de la Marine Nationale est ambiguë. Jusqu’à l’entrée en vigueur le 31 décembre 2004 de l’interdiction d’immersion de navires dans le cadre de la convention internationale pour la protection du milieu marin de l’Atlantique du Nord-Est, la Marine Nationale entend détruire plus de 50 navires au cours d’exercices de tirs liés à l’entraînement des forces navales.
Tricolor : un chantier en déséquilibre
Les délais annoncés par les opérateurs de CBT (Combinatie Berging Tricolor) et la Préfecture Maritime ne seront pas tenus. Les autorités françaises, qui ont la responsabilité de la sécurité sur zone, doivent en liaison avec leurs homologues européens et avec les armateurs norvégiens organiser et renforcer les dispositifs de balisage et de signalement de l’épave du Tricolor pendant l’hiver prochain.
Tricolor : un chantier en déséquilibre
Les délais annoncés par les opérateurs de CBT (Combinatie Berging Tricolor) et la Préfecture Maritime ne seront pas tenus. Les autorités françaises, qui ont la responsabilité de la sécurité sur zone, doivent en liaison avec leurs homologues européens et avec les armateurs norvégiens organiser et renforcer les dispositifs de balisage et de signalement de l’épave du Tricolor pendant l’hiver prochain.
Tricolor : un chantier en déséquilibre
Les délais annoncés par les opérateurs de CBT (Combinatie Berging Tricolor) et la Préfecture Maritime ne seront pas tenus. Les autorités françaises, qui ont la responsabilité de la sécurité sur zone, doivent en liaison avec leurs homologues européens et avec les armateurs norvégiens organiser et renforcer les dispositifs de balisage et de signalement de l’épave du Tricolor pendant l’hiver prochain.