Bulletin « A la Trace » n°3
A la TRACE n°3 (pdf – 80 pages. 4,3 Mo)
Baleines et mammifères marins, pages 4 et 5
Veuillez trouver en lien la version française du n°3 de “A la Trace”, bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux menacés d’extinction.
Tous les évènements couvrent octobre, novembre et décembre 2013.
A noter que “A la Trace” bénéficie désormais du soutien financier de la Fondation Brigitte Bardot, de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et de la Fondation Franz Weber.
Bulletin « A la Trace » n°3
A la Trace n°3 (pdf – 80 pages. 4,3 Mo)
Hippocampes, concombres de mer, strombes géants et requins, pages 3 et 4
Veuillez trouver en lien la version française du n°3 de “A la Trace”, bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux menacés d’extinction.
Tous les évènements couvrent octobre, novembre et décembre 2013.
A noter que “A la Trace” bénéficie désormais du soutien financier de la Fondation Brigitte Bardot, de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et de la Fondation Franz Weber.
Bulletin « A la Trace » n°3
« A la Trace n°3 »
(pdf – 80 pages. 4,3 Mo)
Rhinocéros et éléphants,pages 48 à 69
Bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux menacés d’extinction.
Tous les évènements de ce numéro 3 couvrent octobre, novembre et décembre 2013.
A noter que “A la Trace” bénéficie désormais du soutien financier de la Fondation Brigitte Bardot, de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et de la Fondation Franz Weber.
Bulletin « A la Trace » n°3
« A la Trace » n°3
(pdf – 80 pages. 4,3 Mo)
Oiseaux, pages 22 à 29
Veuillez trouver en lien la version française du n°3 de « A la Trace », bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux menacés d’extinction.Tous les évènements couvrent octobre, novembre et décembre 2013. A noter que « A la Trace » bénéficie désormais du soutien financier de la Fondation Brigitte Bardot, de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et de la Fondation Franz Weber.
Bulletin « A la Trace » n°3
« A la Trace » n°3
(pdf – 80 pages. 4,3 Mo)
Veuillez trouver en lien la version française du n°3 de « A la Trace », bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux menacés d’extinction.Tous les évènements couvrent octobre, novembre et décembre 2013. A noter que « A la Trace » bénéficie désormais du soutien financier de la Fondation Brigitte Bardot, de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et de la Fondation Franz Weber.
Tchin Chine pour les éléphants !
La Chine détruit aujourd’hui de l’ivoire illégal saisi à ses frontières et sur son territoire.
Conformément aux décisions de la CITES*, les courtiers agréés par le gouvernement chinois ont acheté aux enchères 60 tonnes d’ivoire en 2008 à 4 pays d’Afrique australe, le Zimbabwe, le Botswana, la Namibie et l’Afrique du Sud. Le prix moyen d’achat a été de 157 US$/kg, dix fois moins que sur le marché noir de l’époque. Les défenses d’éléphants ont ensuite alimenté 172 ateliers et magasins de détails bénéficiant d’une licence spécifique.
L’ouverture d’un marché restreint de l’ivoire légal a provoqué un raz de marée de l’ivoire illégal pour satisfaire une demande croissante et diversifiée en Chine. Des commerçants dûment enregistrés complètent leur stock légal avec de l’ivoire de contrebande et des sites internet proposent de l’ivoire issu du trafic international.
La fauconnerie et la vraie connerie du PSG
Pendant son séjour au Qatar, l’équipe du PSG (Paris Saint-Germain) a participé à diverses opérations montées par l’office du tourisme local. C’est ainsi que Zlatan Ibrahimovic a assisté à des démonstrations de fauconnerie et posé avec un faucon de haut vol. La fauconnerie est un des dadas du Qatar et une de ses fiertés. Cette pratique est responsable de la disparition de plusieurs espèces de faucons et autres rapaces.
Alertes à Cherbourg
N°1
Le thonier russe Marginella est immobilisé à Cherbourg depuis juillet 2007. Parti de Kaliningrad (Russie), il se rendait en Afrique du Sud via le Ghana pour pêcher du thon rouge et du thon tropical dans des conditions douteuses du point de vue de la conformité à la réglementation de la CICTA (Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l’Atlantique). Il a été victime en mer du Nord et dans la Manche de départs d’incendie dans le compartiment machines et d’une panne totale de propulsion. Il avait dû être remorqué par l’Abeille Liberté.
L’ivoire à la casse
Robin des Bois a formulé depuis 6 mois des demandes officielles auprès du gouvernement français pour que les ivoires illégaux accumulés depuis plusieurs décennies soient détruits et que les inventaires des stocks soient publiés en toute transparence.
Après quelques hésitations, la France a finalement décidé de procéder à cette destruction. L’inventaire des lieux de stockage et des quantités d’ivoire est en cours de réalisation. Des greffes de tribunaux, des Muséums d’Histoire Naturelle, des entrepôts douaniers sont concernés. Le cumul des ivoires pourrait atteindre plusieurs dizaines de tonnes. Seuls quelques ivoires seront conservés pour des raisons scientifiques et pédagogiques.
Secret défense
Aujourd’hui, les Etats-Unis détruisent 5,4 tonnes d’ivoire saisi depuis 25 ans par les services compétents en violation des réglementations nationales et internationales. Une notification officielle a été envoyée au secrétariat de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction). Les Etats-Unis souhaitent que d’autres Etats détruisent leurs stocks d’ivoire illégal.
Ils ne pourront pas compter sur la France. Dans un récent courrier à Robin des Bois, le Ministre de l’Ecologie considère que les pays qui procèdent à la destruction volontaire des saisies d’ivoire privilégient les actions symboliques et fortement médiatisées au détriment de réelles actions de fond. En outre, le Ministère de l’Ecologie refuse « pour des raisons de sécurité » de rendre public l’inventaire du stock d’ivoire illégal détenu par l’Etat français et les muséums d’Histoire Naturelle.