Centraco. Mise au point de Robin des Bois
Accident Centraco Marcoule # 2
L’accident n’est pas terminé comme on l’entend de toutes parts, sauf pour l’ouvrier qui est mort. Il continue pour celui qui est dans le coma et les autres blessés.
Cette installation d’entreposage, d’incinération et de fusion de déchets radioactifs est connue pour être dangereuse, sujette à de multiples incidents et pour recourir à des sous-traitants.
Centraco. Mise au point de Robin des Bois
Accident Centraco Marcoule # 2
L’accident n’est pas terminé comme on l’entend de toutes parts, sauf pour l’ouvrier qui est mort. Il continue pour celui qui est dans le coma et les autres blessés.
Cette installation d’entreposage, d’incinération et de fusion de déchets radioactifs est connue pour être dangereuse, sujette à de multiples incidents et pour recourir à des sous-traitants.
Accident Centraco Marcoule
Accident Centraco Marcoule # 1
Après l’accident mortel de Centraco à Marcoule, vous trouverez ci-dessous en liens des informations montrant l’imbrication du site accidenté dans un complexe nucléaire à risques multiples avec plusieurs milliers d’employés.
Accident Centraco Marcoule
Accident Centraco Marcoule # 1
Après l’accident mortel de Centraco à Marcoule, vous trouverez ci-dessous en liens des informations montrant l’imbrication du site accidenté dans un complexe nucléaire à risques multiples avec plusieurs milliers d’employés.
L’égouttage dégoûtant de VNF
Objet: curage du canal de la Sambre à l’Oise
Les vidangeurs de VNF -Voies Navigables de France- sont à l’ouvrage. Ils évoquent des déchets inertes. Sont-ils vraiment inertes avec leurs irisations d’hydrocarbures bien visibles sur les tartines de boues dont ils recouvrent le patrimoine de Sissy (02). Qui en mangerait ? Surtout pas les vaches.
Si les anguilles de tous les cours d’eau et canaux du département de l’Aisne sont interdites à la consommation, c’est que justement en tant que poissons des fonds elles évoluent sur des sédiments pollués aux PCB et s’en nourrissent.
L’égouttage dégoûtant de VNF
Objet: curage du canal de la Sambre à l’Oise
Les vidangeurs de VNF -Voies Navigables de France- sont à l’ouvrage. Ils évoquent des déchets inertes. Sont-ils vraiment inertes avec leurs irisations d’hydrocarbures bien visibles sur les tartines de boues dont ils recouvrent le patrimoine de Sissy (02). Qui en mangerait ? Surtout pas les vaches.
Si les anguilles de tous les cours d’eau et canaux du département de l’Aisne sont interdites à la consommation, c’est que justement en tant que poissons des fonds elles évoluent sur des sédiments pollués aux PCB et s’en nourrissent.
Attention les yeux !
La bataille des 3D fait rage. Les fabricants y voient clair. L’avenir du marché des écrans passe par les 3 Dimensions et les journalistes qui servent de cobayes transmettent aux consommateurs des traces fugaces de désarroi. Dernier exemple en date, l’envoyé spécial du journal Le Monde au salon de l’électronique IFA Berlin dit après s’être positionné devant un écran Toshiba 3D sans lunettes qu’« une impression de flou se dégage lorsque l’on tourne la tête ».
A la suite de la saisine en février 2011 de Robin des Bois sur les effets sanitaires et en particulier oculaires de la Nintendo 3DS (1), l’ANSES (2) et l’association ont estimé ensemble que les interrogations concernant les effets sanitaires potentiels de cette console de jeu méritent d’être étendues à toute la gamme des technologies 3D (cinéma, télévision, téléphonie mobile …).
L’EPR à l’aveuglette
Le Ministre de l’Industrie vient de déclarer que l’enquête publique sur le deuxième réacteur EPR qu’il est projeté d’implanter à Penly sur le littoral haut normand aura lieu vers la mi-octobre.
Robin des Bois rappelle qu’après l’accident catastrophique de Fukushima, il a été décidé à l’échelon européen et français de vérifier la résistance des installations nucléaires existantes, en construction et en projet aux agressions naturelles ou industrielles insuffisamment prises en compte jusqu’à maintenant. Les résultats préliminaires de ces examens devraient être connus à la fin de l’année conformément aux instructions du Premier Ministre et seront susceptibles d’induire dans la conception des réacteurs nucléaires y compris du type EPR des modifications structurelles ou organisationnelles. Dans ces conditions d’attente, on voit mal quel commissaire enquêteur serait assez loufoque pour présider dès le mois prochain à l’instruction d’un dossier d’enquête publique capital pour la sécurité de l’Europe du Nord et pour l’environnement terrestre et marin. Ce spécimen, si par extraordinaire il existait, ne manquerait pas d’être ridiculisé, tout comme son dossier. Il ne peut pas être question de précipiter l’enquête publique du deuxième EPR sur le sol français pour éviter une « collision » avec l’élection présidentielle de 2012.
Une brassière de sauvetage pour l’ambassadeur de France en Arctique.
Une nouvelle fois, il n’a pas pu dire non à l’invitation d’un armateur à une croisière en milieu polaire. Michel Rocard, ambassadeur de France pour les pôles arctique et antarctique embarque le 4 septembre à Iqualit dans l’Arctique canadien pour 11 jours à bord du Boréal.
Ce voyage n’est pas sans risque pour les passagers et pour l’environnement. Il y a un an exactement dans les mêmes eaux, le Clipper Adventurer s’est échoué sur un récif (1). Les 197 passagers et membres de l’équipage ont dû attendre 48 heures sur le navire en détresse avant de commencer à être évacués. Les moyens d’assistance et de renflouement du Canada comme des autres Etats riverains de l’océan Glacial arctique sont déficients. L’armateur a attaqué en justice le gouvernement canadien pour erreur dans les relevés cartographiques. A ce jour, seulement 10% de l’océan Arctique est correctement cartographié.
Une brassière de sauvetage pour l’ambassadeur de France en Arctique.
Une nouvelle fois, il n’a pas pu dire non à l’invitation d’un armateur à une croisière en milieu polaire. Michel Rocard, ambassadeur de France pour les pôles arctique et antarctique embarque le 4 septembre à Iqualit dans l’Arctique canadien pour 11 jours à bord du Boréal.
Ce voyage n’est pas sans risque pour les passagers et pour l’environnement. Il y a un an exactement dans les mêmes eaux, le Clipper Adventurer s’est échoué sur un récif (1). Les 197 passagers et membres de l’équipage ont dû attendre 48 heures sur le navire en détresse avant de commencer à être évacués. Les moyens d’assistance et de renflouement du Canada comme des autres Etats riverains de l’océan Glacial arctique sont déficients. L’armateur a attaqué en justice le gouvernement canadien pour erreur dans les relevés cartographiques. A ce jour, seulement 10% de l’océan Arctique est correctement cartographié.