Le gaz russe à la trace
Ukraine – communiqué n°4. 4 mars 2022 – 16h30. (Mise à jour le 4 mars à 17h)
Suite au communiqué de Robin des Bois « Sanctions envers la Russie : vont-ils oser ? » du 24 février 2022 (1), jour du début de l’invasion russe de l’Ukraine, l’ONG a cartographié la position actuelle des 15 méthaniers brise-glace qui exportent du Gaz Naturel Liquéfié (GNL) dans les ports européens depuis le terminal gazier de Yamal en Sibérie.
Felicity Ace †
Dans son communiqué du 18 février 2022, Robin des Bois indiquait que l’incendie dans le Felicity Ace était livré à lui-même et qu’il était susceptible de se propager à tous les ponts-garages. L’ONG ajoutait que les incendies de ce type se terminent en général mal pour les cargaisons, les voituriers, et dans certains cas pour les fonds marins (1).
C’est fait. Le Felicity Ace a coulé hier 1er mars à 09h, heure locale.
Enquête publique sur le projet de prolongement de la ligne 1 – Château de Vincennes à Val de Fontenay
Observations de Robin des Bois du 2 mars 2022 au projet de prolongement de la ligne 1 dans le Bois de Vincennes (Val-de-Marne)
Destinataires : Monsieur Chaulet, Président de la commission d’enquête, Madame Soilly, Monsieur Charliac, Monsieur Bonaty et Monsieur Biechler, membres de la commission d’enquête
Madame, Messieurs,
Concernant l’enquête publique relative au projet de prolongement de la ligne 1 – Château de Vincennes à Val de Fontenay, vous trouverez ci-dessous les observations de Robin des Bois.
Chem P, ex porte-conteneurs Sea Witch, à la dérive au large de l’Algérie
Mis à jour le 22 mars 2022
Parti d’Algésiras (Espagne) le 18 février 2022, le Chem P était attendu à Malte le 27 février. Depuis le 23 février, il connait des pannes de moteur au large des côtes algériennes et alterne les dérives et les vitesses réduites.
Drapeau blanc sur les sites nucléaires
Ukraine – communiqué n°3. 28 février 2022 – 14h.
C’est la première fois au monde qu’un pays nucléarisé est soumis à des bombardements aériens d’une telle intensité et aux autres désordres d’une guerre moderne.
Quinze réacteurs nucléaires sont en activité en Ukraine, tous de technologie russe. Ils exigent pour leur maintenance des pièces détachées russes. L’Ukraine et la Russie sont obligées de coopérer pour garantir autant que faire se peut leur bon fonctionnement.
Les réacteurs nucléaires et les entreposages de déchets ne sont pas à l’abri d’une erreur de tir ou d’une perte soudaine d’alimentation électrique susceptibles de mettre en danger les populations et l’environnement d’Europe continentale et des pays riverains de la mer Noire.
La Russie, l’Ukraine et ses soutiens dont l’Union européenne, doivent prendre en compte cette composante nucléaire civile dans la gestion du conflit.