Démolition des navires

Après l’affaire du porte-avions Clemenceau, Robin des Bois a voulu y voir clair dans le monde de la démolition et du recyclage des vieux navires de commerce et militaires en fin de vie. A cet effet, un bulletin trimestriel d’information et d’analyses a été mis en chantier et lancé en 2006. Chaque numéro de « A la casse », « Shipbreaking » en version anglaise, est un tour du monde des meilleures techniques disponibles et beaucoup plus nombreuses des pires techniques disponibles. Un gros succès éditorial épluché par les spécialistes du monde entier. Dans « A la Casse » bat le pouls de la mondialisation.

“A la Casse” n°52, le mondial de la démolition des navires

31 juil. 2018

“A la Casse” n°52, le mondial de la démolition des navires

Trimestriel d’information et d’analyses sur les navires en fin de vie
1er avril – 30 juin 2018
83 pages, 235 photos, 95 sources (pdf – 13,1 Mo)

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Le mondial de la démolition des navires n°51

17 mai 2018

Le mondial de la démolition des navires n°51

Un calme presque plat pour le début de l’année mais quand même 222 navires partis à la casse, soit un convoi de 34 km de long. Les pétroliers sont en tête. Ils partent de plus en plus jeunes à la casse surtout les double-coques. L’Amba Bhavanee démoli à Alang avait 15 ans.

En tonnage, le Bangladesh rafle la mise avec l’échouage des pétroliers provisoirement interdits au Pakistan. La Chine reste hors jeu.

27% des navires démolis appartenaient à des armateurs européens ou de l’AELE.
Sur 222 navires, 6% seulement ont été démolis en Europe.

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Séminaire sur les navires abandonnés et les épaves maritimes

17 mai 2018

27-29 mars 2018
Abidjan, Côte d’Ivoire
Présentations du séminaire organisé par l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer (ARSTM) et l’Institut de Sécurité Maritime Interrégional (ISMI)

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La bataille du Rio Tagus n’est pas perdue

9 avril 2018

Conformément à des informations parvenues à Robin des Bois en provenance d’une source proche du port de Sète, le remorqueur Paris battant pavillon espagnol est arrivé dans le port de Sète le jeudi 5 avril à 18h36 en vue de remorquer le Rio Tagus à Vinaros, entre Barcelone et Valence.
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Sète en Afrique de l’Ouest

5 avril 2018

Sète en Afrique de l’Ouest

Robin des Bois propose que le port de Sète en Méditerranée soit par dérogation spéciale rattaché au MoU (Memorandum of Understanding) d’Abuja, une entente maritime d’Afrique de l’Ouest réputée inexistante dans le contrôle qualité des navires à quai dans les ports d’Abidjan, de Lomé, de Lagos parmi d’autres.

En effet le port de Sète et le centre de sécurité maritime s’apprêtent dans les jours qui viennent à laisser partir en remorque du Paris le Rio Tagus corrompu par la rouille et les voies d’eau à quai à Sète depuis 8 ans.

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A la Casse n°50, du 1er octobre au 31 décembre 2017

15 févr. 2018

A la Casse n°50, du 1er octobre au 31 décembre 2017

« A la Casse » n°50, bulletin trimestriel sur la démolition des navires
Octobre à décembre 2017 – 99 pages
pdf – 17,9 Mo

– Depuis le n°1 (janvier 2006), « A la Casse » a accompagné 10.026 navires en fin de vie, soit un convoi de 1715 km de long, un tonnage de 87 millions de tonnes de métaux, environ 2 millions de tonnes de déchets et un marché de 33 milliards d’US$. L’Europe en a démoli 219.

– Alerte sur les remorquages à risques. Le Puma (ex-Marechiaro, ex-Mira A, ex-Comenda, ex-Salvigour, ex-Yorkshireman) va-t-il devenir le nouveau Lyubov Orlova ?

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City of Antwerp

20 déc. 2017

City of Antwerp

C’était prédit dans A la Casse n°49 publié fin octobre 2017. L’ex City of Antwerp est aujourd’hui 20 décembre en face des plages d’échouage et de démolition d’Alang en Inde. Autorisé à quitter Anvers, Belgique, le 25 août 2017 sous réserve qu’il soit réparé dans un chantier turc près d’Istanbul, le transporteur de voitures après quelques jours dans le chantier turc et une longue traversée du canal de Suez était annoncé pour poursuite d’exploitation à Singapour.

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A 62 ans, l’ex-Chambord part à la casse

29 nov. 2017

A 62 ans, l’ex-Chambord part à la casse

Le Chambord, pétrolier de la Société Maritime des Pétroles BP a été construit à Dunkerque par les Ateliers et Chantiers de France. Le 11 janvier 1955, sa cérémonie de lancement sous pavillon français avait été présidée par Jacques Chaban-Delmas, ministre des Travaux Publics, des Transports et de la Marine Marchande devant un parterre de notables arrivés par deux trains spéciaux et une flottille de cars et voitures. Avec ses 203,39 m de longueur, 26,25 m de largeur et ses 33.000 t de port en lourd, c’était un géant et le fleuron de la flotte pétrolière française. Cabines individuelles et climatisées pour tous, salles de bain privées avec douche pour les officiers, distributeurs d’eau fraîche dans toutes les coursives, frigos à tous les postes et piscine d’eau de mer, c’était un symbole de renaissance et de progrès universel. Trois sisterships sont sortis des chantiers de Dunkerque entre 1955 et 1958, les Chenonceaux, Cheverny et Chaumont. Le Chambord avait effectué son voyage inaugural entre Marseille et Al Ahmadi (Koweït) en mai 1955. Pendant 17 ans, il a approvisionné les raffineries BP de France.

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Lancement par le chantier naval de Robin des Bois du A la Casse n°49

26 oct. 2017

– Alerte sur les remorquages consciemment téméraires de plates-formes offshore et de navires réformés depuis l’Europe du Nord jusqu’en Turquie. Le cas des deux  Maersk coulés au large de la Bretagne est disséqué. Courrier à ce sujet aux autorités concernées dont les deux préfets maritimes de la façade française de l’Atlantique.

– La fin du Shen Neng 1. En 2010, il a pollué et dégradé la Grande barrière de corail au large du Queensland, Australie, pour gagner 2 milles sur un trajet retour vers la Chine de 4500 milles.

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Maersk pris au piège de la radioactivité

24 oct. 2017

Maersk pris au piège de la radioactivité

Conformément au communiqué de Robin des Bois du 16 juin 2017 et aux nombreux signalements antérieurs dans son trimestriel “A la Casse”, la Cour Suprême du Bangladesh vient d’interdire le démantèlement du North Sea Producer, un ex FPSO (Floating Production Storage Offloading), c’est à dire une usine flottante utilisée pour épurer et stocker le pétrole brut extrait par les plates-formes offshore.

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