« A la Trace » n°28 – le bulletin de la défaunation
« A la Trace » n°28
Le bulletin de la défaunation
Janvier, février et mars 2020
816 évènements
137 pages (pdf), 7,5 Mo
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Cirques itinérants et cirques aquatiques
Les mesures « envisagées » par la ministre de l’Ecologie sont trop floues pour susciter de la part de Robin des Bois un cri de victoire. Ce sera pour plus tard, quand les textes réglementaires paraîtront au Journal Officiel et que des précisions seront connues par exemple sur la notion de cirque itinérant et sur la liste exacte des animaux sauvages que cette catégorie de cirque ne pourra pas exploiter.
Le numéro 27 de « A la Trace » a retracé l’étonnante et scandaleuse tentative d’exportation hors de l’Union Européenne de tigres délaissés par les cirques promis à la fermeture ou à la faillite en Italie. A l’occasion d’autres éditions de « A la Trace » et d’investigations en France, Robin des Bois a constaté et rapporté que des fauves ou des animaux sauvages moins spectaculaires issus du monde du cirque étaient au piquet dans des terrains vagues ou échoués dans des enclos sans eau et sans nourriture et sans autre abris que des vieilles remorques. Les effets secondaires des mesures positives envisagées doivent être dès maintenant identifiés et déjoués par les services de l’Etat. Des cirques risquent de se débarrasser de leurs animaux sauvages en confiant à des courtiers le soin de les vendre dans les pays où l’exhibition commerciale est encore autorisée ou à des particuliers amateurs d’exotisme ne disposant pas des infrastructures, de la compétence et de la patience nécessaires. Dans le cas des hippopotames, des éléphants, des tigres et des rhinocéros, les animaux pourraient aussi être destinés à l’abattage et à l’exploitation illégale et lucrative de leurs ivoires, de leurs peaux, de leurs dents, de leurs cornes.
Charlie Hebdo et Robin des Bois
A lire dans Charlie Hebdo, des articles rédigés par Jacky Bonnemains, directeur de Robin des Bois:
Dans le Charlie Hebdo du 12 août 2020 (pdf), un article sur la catastrophe de Beyrouth, un autre sur l’exportation de déchets bretons et un troisième sur les damnés de la marine marchande. Pour illustrer ce dernier article, il convient de préciser que le commandant indien du Wakashio qui s’est échoué sur l’Ile Maurice le 25 juillet était à bord depuis 8 mois et que deux autres membres de l’équipage étaient à bord depuis plus d’un an, sans aucune possibilité de toucher terre à cause des mesures de confinement Covid-19 en vigueur dans tous les ports d’escale du navire. Une version non confirmée sur les causes de l’accident évoque une soirée d’anniversaire à bord et la nécessité de se rapprocher de la côte pour capter le wifi et pour pouvoir passer des appels vidéo ou téléphoniques via l’Internet avec les familles.
Charlie Hebdo et Robin des Bois
A lire dans Charlie Hebdo, des articles rédigés par Jacky Bonnemains, directeur de Robin des Bois:
Dans le Charlie Hebdo du 12 août 2020 (pdf), un article sur la catastrophe de Beyrouth, un autre sur l’exportation de déchets bretons et un troisième sur les damnés de la marine marchande. Pour illustrer ce dernier article, il convient de préciser que le commandant indien du Wakashio qui s’est échoué sur l’Ile Maurice le 25 juillet était à bord depuis 8 mois et que deux autres membres de l’équipage étaient à bord depuis plus d’un an, sans aucune possibilité de toucher terre à cause des mesures de confinement Covid-19 en vigueur dans tous les ports d’escale du navire. Une version non confirmée sur les causes de l’accident évoque une soirée d’anniversaire à bord et la nécessité de se rapprocher de la côte pour capter le wifi et pour pouvoir passer des appels vidéo ou téléphoniques via l’Internet avec les familles.
42 marins et 5867 vaches périssent en mer
Le 14 août 2020 en fin de journée, le Gulf Livestock 1 et son équipage de 43 marins quittent Napier sur la côte orientale de l’île du Nord, Nouvelle-Zélande. La bétaillère maritime a chargé 5867 vaches destinées à la Chine. Le navire doit atteindre Tangshan, province du Hebei, après un voyage de 17 jours. Dans la nuit du 2 septembre, il est au sud-ouest du Japon. Il lance un appel de détresse à 1h40, heure locale. Il se trouve à 185 km à l’ouest de l’île d’Amami Oshima. Un de ses moteurs est tombé en panne. Il est pris dans le typhon Maysak de catégorie 4. Les vents soufflent sur le navire qui offre une prise au vent fatale. Le Gulf Livestock 1 chavire et sombre. En fin de journée, les avions des garde-côtes japonais repèrent à proximité de la dernière localisation du navire un canot de sauvetage vide et, dans l’eau, un rescapé. Sareno Edvarodo, 45 ans, commandant en second de nationalité philippine, est secouru par un des 4 navires participant aux recherches. Un autre marin est récupéré inconscient et sa mort est constatée à l’hôpital. 37 marins philippins, 2 néo zélandais, un singapourien et un australien, sont portés disparus. Les vaches sont englouties; cependant des cadavres sont repérés à la surface de la mer et il n’est pas impossible que des carcasses s’échouent sur les rivages dans les semaines et mois qui viennent.
Terrassés par qui ou quoi ?
Mise à jour 26 août 2020: cf. “Une année à cyanobactéries”, article rédigé par le directeur de Robin des Bois paru dans le Charlie Hebdo du 26 août 2020 (pdf)
Le 3 juillet 2020.
La mort de près de 400 éléphants au nord du Botswana depuis 3 mois est mystérieuse. Elle est aussi suspecte. Elle s’inscrit dans un contexte politique et social douloureux pour les éléphants. L’actuel président du Botswana et les députés du Nord sont d’accord avec les agriculteurs du delta de l’Okavango pour considérer l’éléphant comme un nuisible, sauf quand des permis de chasse sont délivrés pour des dizaines de milliers de dollars à des chasseurs venus d’Europe, des Etats-Unis ou de Russie, une opportunité qui a été ratée cette année grâce à la pandémie Covid-19. La piste de l’empoisonnement par des extrémistes ne peut pas à priori être écartée.