Balisage

Lettre ouverte : risques à Marseille

25 oct. 2010

Objet : Risques dans le port de Marseille

Destinataires : Syndicat CGT, Préfecture Maritime de Toulon, Ministère de l’Ecologie, Secrétariat d’Etat aux Transports, Armateurs de France, mairies de Marseille et de Fos-sur-Mer, DREAL, CYPRES

Copie à : acteurs du Grenelle de la Mer.

Mesdames, Messieurs,

L’accumulation dans le Golfe de Fos et la rade de Marseille de navires transportant des matières dangereuses présente un danger pour la sécurité civile et maritime et l’environnement. Nous notons en particulier la présence de méthaniers, de butaniers, de pétroliers et de chimiquiers. Cette massification contrainte et improvisée de matières inflammables, explosives, toxiques et polluantes ne correspond à aucune planification ou plan d’organisation interne. Elle échappe totalement à la nécessité d’information des travailleurs et des publics concernés.

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Boues rouges

20 oct. 2010

Boues rouges en Hongrie – Communiqué n°2

L’ingérence écologique en Hongrie est nécessaire. Les boues rouges d’Ajka contiennent notamment des teneurs importantes en soufre (environ 3.000 mg / kilo), en chrome (600 mg / kilo), en nickel (200 mg / kilo), en arsenic (100 mg / kilo) et en mercure (1 mg / kilo). Cet épandage représente pour les populations des risques sanitaires qui ne peuvent pas être considérés comme négligeables. Si l’on estime que la moitié du déversement a recouvert des surfaces agricoles d’une superficie de 5.000 hectares, chaque hectare est en moyenne recouvert par 500 tonnes de déchets. Ceci est un ordre de grandeur.

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Boues rouges

20 oct. 2010

Boues rouges en Hongrie – Communiqué n°2

L’ingérence écologique en Hongrie est nécessaire. Les boues rouges d’Ajka contiennent notamment des teneurs importantes en soufre (environ 3.000 mg / kilo), en chrome (600 mg / kilo), en nickel (200 mg / kilo), en arsenic (100 mg / kilo) et en mercure (1 mg / kilo). Cet épandage représente pour les populations des risques sanitaires qui ne peuvent pas être considérés comme négligeables. Si l’on estime que la moitié du déversement a recouvert des surfaces agricoles d’une superficie de 5.000 hectares, chaque hectare est en moyenne recouvert par 500 tonnes de déchets. Ceci est un ordre de grandeur.

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Une opération de sauvetage en mer réussie

13 oct. 2010

La coordination entre le Ministère de l’Ecologie, la Préfecture Maritime de l’Atlantique, la Marine Nationale, le CROSS Corsen, l’Abeille Bourbon, le CEDRE, le gestionnaire des navires « V Ships » et les moyens de la base aéronautique navale de Lanvéoc a permis de mener jusqu’à son terme le sauvetage de l’équipage et la mise en sécurité du YM Uranus.

L’application de la doctrine « refuge » pour les navires en difficulté a évité une pollution supplémentaire de l’environnement marin et la contamination de ses chaînes alimentaires par le benzène.

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Navire YM Uranus

8 oct. 2010

Robin des Bois souhaite que toute la lumière soit faite sur les produits transportés par le navire YM Uranus. 11h après l’accident, il n’est pas normal de ne pas avoir d’informations précises sur les substances transportées.

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Boues rouges en Hongrie : une catastrophe majeure, prévisible, et internationale

6 oct. 2010

Boues rouges en Hongrie : une catastrophe majeure, prévisible, et internationale

Boues rouge en Hongrie – Communiqué n°1,
Mise à jour le 8 octobre.

Caractéristiques : Les boues rouges sont les résidus de l’extraction d’alumine à partir du traitement de la bauxite. Elles contiennent de la soude caustique, du fer, de l’alumine, du silicium, du sodium, du calcium, du titane, du manganèse, du vanadium, du chrome hexavalent, du plomb et du cadmium. Le cumul de tous ces métaux et minéraux fait des boues rouges un déchet toxique pour la faune aquatique, les animaux domestiques et d’élevage.

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Boues rouges en Hongrie : une catastrophe majeure, prévisible, et internationale

6 oct. 2010

Boues rouges en Hongrie : une catastrophe majeure, prévisible, et internationale

Boues rouge en Hongrie – Communiqué n°1,
Mise à jour le 8 octobre.

Caractéristiques : Les boues rouges sont les résidus de l’extraction d’alumine à partir du traitement de la bauxite. Elles contiennent de la soude caustique, du fer, de l’alumine, du silicium, du sodium, du calcium, du titane, du manganèse, du vanadium, du chrome hexavalent, du plomb et du cadmium. Le cumul de tous ces métaux et minéraux fait des boues rouges un déchet toxique pour la faune aquatique, les animaux domestiques et d’élevage.

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Les déchets de la tempête Xynthia – 2010

30 sept. 2010

Les déchets de la tempête Xynthia – 2010

Les déchets de la tempête Xynthia (pdf 111 pages – 8 Mo). Rapport réalisé par Robin des Bois avec le soutien de l’ADEME sur la collecte, l’inventaire et la gestion des déchets consécutifs à l’évènement Xynthia. Il a été rédigé à la suite des nombreuses et nécessaires visites de terrain, rencontres et échanges prolongés avec les parties concernées. Suivi de recommandations et illustré, ce rapport est destiné à tous les élus, services de l’Etat, associations, citoyens et organes de presse intéressés par les impacts différés des catastrophes climatiques, naturelles, urbaines, ou industrielles.

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L’affaire Radium – 2010

21 sept. 2010

L’affaire Radium – 2010

Mission Radium

La campagne qui s’ouvre de dépistage et si nécessaire d’assainissement des sites radium est l’aboutissement de recherches historiques initiées depuis 14 ans par Robin des Bois et l’ANDRA dans le cadre de l’inventaire national des déchets radioactifs. Le radium a été utilisé entre 1900 et 1960 pour des usages médicaux, pharmaceutiques ou parapharmaceutiques, d’hygiène corporelle ou cosmétiques. Sa luminescence a été exploitée par les industries horlogère, textile, aéronautique et de l’armement.

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Des centrales nucléaires flottantes à travers le monde

10 sept. 2010

Des centrales nucléaires flottantes à travers le monde

La première centrale nucléaire flottante russe a été lancée fin juin 2010 (photo n°1) et ses deux réacteurs d’une capacité de 35 MW x 2 seront installés avant 2012 selon les autorités russes. Des retards sont toutefois possibles. Cette nouvelle activité nucléaire est inquiétante, en particulier parce que la gestion des déchets radioactifs des brise-glace et sous-marins nucléaires russes reste non résolue de même que leur démantèlement en fin de vie.

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