Des centrales nucléaires flottantes à travers le monde
La première centrale nucléaire flottante russe a été lancée fin juin 2010 (photo n°1) et ses deux réacteurs d’une capacité de 35 MW x 2 seront installés avant 2012 selon les autorités russes. Des retards sont toutefois possibles. Cette nouvelle activité nucléaire est inquiétante, en particulier parce que la gestion des déchets radioactifs des brise-glace et sous-marins nucléaires russes reste non résolue de même que leur démantèlement en fin de vie.
Une centrale nucléaire russe à Brest
Objet : nucléaire russe à Brest
Robin des Bois souhaite que soient publiés les résultats du suivi radiologique de la rade de Brest après l’escale du croiseur russe à propulsion nucléaire Piotr Velikiy (Pierre le Grand).
La présence dans la rade de Brest de ce navire militaire équipé de deux réacteurs de 300 Mégawatts n’est pas anodine. Elle impose à la préfecture maritime de Brest un protocole de surveillance de l’environnement qui avait d’ailleurs été mis en application à Toulon lors de la visite du même navire en 2008. (cf. les communiqués Pierre le Grand à Toulon sur le site de Robin des Bois).
Une centrale nucléaire russe à Brest
Objet : nucléaire russe à Brest
Robin des Bois souhaite que soient publiés les résultats du suivi radiologique de la rade de Brest après l’escale du croiseur russe à propulsion nucléaire Piotr Velikiy (Pierre le Grand).
La présence dans la rade de Brest de ce navire militaire équipé de deux réacteurs de 300 Mégawatts n’est pas anodine. Elle impose à la préfecture maritime de Brest un protocole de surveillance de l’environnement qui avait d’ailleurs été mis en application à Toulon lors de la visite du même navire en 2008. (cf. les communiqués Pierre le Grand à Toulon sur le site de Robin des Bois).
Un nouveau site pollué en Arctique ? (*)
Depuis le vendredi 27 août, le Clipper Adventurer met en danger l’océan Arctique. Ce ferry reconverti en paquebot a été construit en ex-Yougoslavie en 1975. Il bat pavillon des îles Bahamas. Il est échoué sur un récif dans la région canadienne du Nunavut. Des opérations de déséchouage sont envisagées.
Le pavillon Bahamas n’est pas signataire de l’annexe IV de la pollution MARPOL sur le rejet des eaux usées des navires. L’armateur est américain. Ce coup de semonce démontre que toutes les précautions maritimes et juridiques ne sont pas prises pour prévenir les risques de pollution dans l’océan glacial arctique.
Un nouveau site pollué en Arctique ? (*)
Depuis le vendredi 27 août, le Clipper Adventurer met en danger l’océan Arctique. Ce ferry reconverti en paquebot a été construit en ex-Yougoslavie en 1975. Il bat pavillon des îles Bahamas. Il est échoué sur un récif dans la région canadienne du Nunavut. Des opérations de déséchouage sont envisagées.
Le pavillon Bahamas n’est pas signataire de l’annexe IV de la pollution MARPOL sur le rejet des eaux usées des navires. L’armateur est américain. Ce coup de semonce démontre que toutes les précautions maritimes et juridiques ne sont pas prises pour prévenir les risques de pollution dans l’océan glacial arctique.
Cezanne et Renoir : une nouvelle exposition en Asie ?
Depuis 2003 et l’affaire du Clemenceau, l’opinion publique et les dirigeants politiques réclament de la part de la France une initiative sur le démantèlement des navires. Malgré des engagements du Grenelle de l’Environnement et du Grenelle de la Mer, ces revendications sont restées lettre morte. Le dernier non évènement en date est la « mission parlementaire démantèlement des navires » qui renvoie à un nouveau comité de pilotage et affirme grâce à un raisonnement simplificateur qu’une filière de démantèlement des navires en France n’aurait pas en elle-même de viabilité économique [« Lorsqu’on sait qu’un gros broyeur peut traiter 1.000 t de ferraille par jour, on ne peut que réaliser que les 10.000 t actuelles de navires militaires ne représenteraient que 10 jours d’activité » ]. La Mission ne s’attarde pas sur les scandales environnementaux, sanitaires et sociaux du ferraillage des navires dans les pays asiatiques.
Incendies de forêts : attention, retombées radioactives (bis)
Objet : suite du communiqué du 3 août 2010
Le site Arzamas 16 est menacé par les incendies de forêt depuis la mi-juillet 2010. La localisation des stockages et enfouissements de déchets est inconnue. La gestion actuelle des stockages de plutonium, d’uranium enrichi, des bombes atomiques fait l’objet de communiqués contradictoires. Le site à vocation militaire est en activité depuis 1946. Pendant plus d’un demi siècle, les expériences et activités nucléaires ont marqué le site d’une empreinte indélébile (voir document photographique). L’attaque par le feu des secteurs stratégiques et radioactifs pourrait être un évènement majeur et provoquer une contamination planétaire. L’impuissance du gouvernement russe et des services de secours à prévenir les incendies autour de ce site sensible et à les maîtriser est flagrante.
Incendies de forêts : attention, retombées radioactives (bis)
Objet : suite du communiqué du 3 août 2010
Le site Arzamas 16 est menacé par les incendies de forêt depuis la mi-juillet 2010. La localisation des stockages et enfouissements de déchets est inconnue. La gestion actuelle des stockages de plutonium, d’uranium enrichi, des bombes atomiques fait l’objet de communiqués contradictoires. Le site à vocation militaire est en activité depuis 1946. Pendant plus d’un demi siècle, les expériences et activités nucléaires ont marqué le site d’une empreinte indélébile (voir document photographique). L’attaque par le feu des secteurs stratégiques et radioactifs pourrait être un évènement majeur et provoquer une contamination planétaire. L’impuissance du gouvernement russe et des services de secours à prévenir les incendies autour de ce site sensible et à les maîtriser est flagrante.
Un vendeur de déchets dangereux sévit sur le boncoin.fr. Il est installé en Bretagne
Sujet : charbon de bois suite
Robin des Bois informe la population qu’un individu irresponsable spécialisé dans l’aménagement des jardins propose sur le site Internet précité la vente de 40.000 traverses de chemins de fer créosotées et cancérogènes considérées par les réglementations française et européenne comme des déchets dangereux. Ce distributeur de bois traités en vante « la durée inégalée » et propose de les utiliser dans des centres équestres, les jardins, en maçonnerie « et autres »….
Navire sous-normes Ocean Pearl
Nous sommes informés par un correspondant en Asie que l’armateur indien Prayati Shipping spécialisé dans la récupération de navires en fin de vie voués à la démolition est propriétaire de l’Ocean Pearl IMO 8226650, actuellement stationné en Chine. Ce transporteur de marchandises diverses construit en 1983 bat, depuis juin 2010, pavillon de Saint-Kitts-et-Nevis bien connu pour être un pavillon du dernier voyage.
Les équipements anti incendie et les équipements de survie sont en très mauvais état. Les canots de sauvetage sont impraticables. La passerelle de navigation, le compartiment machines et les locaux de l’équipage sont dans un état de saleté avancé. L’eau distribuée à bord n’est pas potable, le système de communication interne est déficient de même que les installations électriques. Les 22 membres d’équipage ne sont pas payés. Selon les usages de Prayati Shipping, ils ont été engagés pour 9 mois.