Loire poubelle à Montoir
Des usagers du terminal de Montoir nous signalent des anomalies et des pratiques polluantes pendant le déchargement en cours du Nordmosel, un minéralier transportant du coke de pétrole. Ce combustible est un résidu de distillation d’hydrocarbures. Le déchargement approprié par bandes transporteuses est perturbé par la pulvérulence du matériau et par la présence d’eau au fond des cales du navire. Des quantités importantes, 15 à 20 tonnes de coke de pétrole qui se présentent sous forme de petits boulets sont en fin de journée éparpillées sur le quai. Ces pertes de cargaison sont ensuite éjectées dans la Loire à l’aide de canons à eau. La pratique de la Loire poubelle est ordinaire. Soja, tourbe et autres vracs débarqués à Montoir subissent le même sort que le coke de pétrole.
Les gens du voyage démantèlent un site du CEA
Depuis plusieurs mois, le site de la Direction des Applications Militaires du Commissariat à L’Energie Atomique de Vaujours dans la région parisienne est colonisé par 2 à 300 gens du voyage qui pillent les installations et emmènent au recyclage des portes blindées et des ferrailles susceptibles d’être contaminées. Entre 1955 et 1986, le site a eu pour vocation principale de mener des études de détonique dans le cadre de la mise au point des formules nucléaires de la force de dissuasion. Des expériences ont mis en œuvre de l’uranium appauvri.
Les gens du voyage démantèlent un site du CEA
Depuis plusieurs mois, le site de la Direction des Applications Militaires du Commissariat à L’Energie Atomique de Vaujours dans la région parisienne est colonisé par 2 à 300 gens du voyage qui pillent les installations et emmènent au recyclage des portes blindées et des ferrailles susceptibles d’être contaminées. Entre 1955 et 1986, le site a eu pour vocation principale de mener des études de détonique dans le cadre de la mise au point des formules nucléaires de la force de dissuasion. Des expériences ont mis en œuvre de l’uranium appauvri.
Les épaves déchargent
Une épave est une somme de déchets toxiques. De plus en plus de précautions sont exigées pour la démolition des navires. L’inventaire des matériaux dangereux qui devraient en tous lieux faire l’objet d’un traitement préalable est impressionnant : déchets d’équipements électriques et électroniques, peintures biocides, extincteurs, PCB et amiante sous formes multiples, sources radioactives, fluides toxiques, lubrifiants et hydrocarbures de propulsion.
Une épave est généralement un navire en ordre de marche qui à la suite d’un aléa – guerre, collision, avarie, météo – s’est retrouvé en quelques minutes ou en quelques heures sur les fonds marins. La dépollution préalable n’est pas le propre des épaves. En plus des déchets opérationnels, ces décharges sous-marines stockent et au fil du temps déstockent sur les sédiments et dans l’environnement marin les cargaisons et résidus de cargaison ou de munitions.
Les épaves déchargent
Une épave est une somme de déchets toxiques. De plus en plus de précautions sont exigées pour la démolition des navires. L’inventaire des matériaux dangereux qui devraient en tous lieux faire l’objet d’un traitement préalable est impressionnant : déchets d’équipements électriques et électroniques, peintures biocides, extincteurs, PCB et amiante sous formes multiples, sources radioactives, fluides toxiques, lubrifiants et hydrocarbures de propulsion.
Une épave est généralement un navire en ordre de marche qui à la suite d’un aléa – guerre, collision, avarie, météo – s’est retrouvé en quelques minutes ou en quelques heures sur les fonds marins. La dépollution préalable n’est pas le propre des épaves. En plus des déchets opérationnels, ces décharges sous-marines stockent et au fil du temps déstockent sur les sédiments et dans l’environnement marin les cargaisons et résidus de cargaison ou de munitions.
Les épaves déchargent
Une épave est une somme de déchets toxiques. De plus en plus de précautions sont exigées pour la démolition des navires. L’inventaire des matériaux dangereux qui devraient en tous lieux faire l’objet d’un traitement préalable est impressionnant : déchets d’équipements électriques et électroniques, peintures biocides, extincteurs, PCB et amiante sous formes multiples, sources radioactives, fluides toxiques, lubrifiants et hydrocarbures de propulsion.
Une épave est généralement un navire en ordre de marche qui à la suite d’un aléa – guerre, collision, avarie, météo – s’est retrouvé en quelques minutes ou en quelques heures sur les fonds marins. La dépollution préalable n’est pas le propre des épaves. En plus des déchets opérationnels, ces décharges sous-marines stockent et au fil du temps déstockent sur les sédiments et dans l’environnement marin les cargaisons et résidus de cargaison ou de munitions.
Le Clem recule à Hartlepool
Les premières opérations de déchiquetage après dépollution de la coque Q 790 ont commencé dans les chantiers Able au nord-est de l’Angleterre. Le découpage du nez du porte-avions réalisé entre le 16 et le 22 novembre aboutit à une certitude : la coque Q 790 ne pourra plus être remorquée.
La première visite de Robin des Bois, conforme à une demande formulée à la CLI de Brest le 3 décembre 2008, s’est déroulée le 25 novembre 2009. Les autres associations membres de la CLI ont décliné l’invitation. La représentante de Robin des Bois a constaté les éléments suivants :
Onyx : Note d’information
Le car ferry Onyx, ex-C Express, ex-Casino Express, ex-Fennia a failli couler dans la Manche si l’Abeille Bourbon n’était intervenue pour sauver les 26 marins de l’équipage et le remorquer vers Brest le 23 novembre.
L’Onyx construit en 1966 en Suède était officiellement destiné à la démolition selon la banque de données Equasis. Sa société de classification Lloyd’s Register of Shipping lui a retiré ses certificats. Il bat pavillon Saint-Kitts-et-Nevis, un des pavillons du dernier voyage utilisé pour des raisons d’économie par les propriétaires.
Onyx : Note d’information
Le car ferry Onyx, ex-C Express, ex-Casino Express, ex-Fennia a failli couler dans la Manche si l’Abeille Bourbon n’était intervenue pour sauver les 26 marins de l’équipage et le remorquer vers Brest le 23 novembre.
L’Onyx construit en 1966 en Suède était officiellement destiné à la démolition selon la banque de données Equasis. Sa société de classification Lloyd’s Register of Shipping lui a retiré ses certificats. Il bat pavillon Saint-Kitts-et-Nevis, un des pavillons du dernier voyage utilisé pour des raisons d’économie par les propriétaires.
10 ans après, l’Erika est à l’abandon
Dans le procès en appel, comme en première instance, Robin des Bois a été la seule partie civile représentée sans assistance d’avocats, témoignant ainsi d’une appropriation complète et collective de l’évènement initial, de ses signes précurseurs et de ses conséquences immédiates et sur le long terme. La plaidoirie de l’association défendue à la barre par son président a insisté sur les carences flagrantes du suivi scientifique et écologique des impacts du désastre Erika sur les ressources halieutiques et les sédiments marins.