Bulletin « A la Trace » n°4
Janvier – février – mars 2014
468 évènements, 352 sources d’information, 112 pages (pdf 6,45 Mo).
Oiseaux, pages 30 à 40
La pègre du braconnage et de la contrebande à la loupe
Introduction.
Voici la 4ème édition de « A la Trace », 112 pages, 468 événements, 352 sources d’information. Les indicateurs virent au rouge. A la bourse des animaux menacés d’extinction les prix s’affolent. La Chine et le marché mondial des animaux de compagnie exotiques pèsent lourd. Le perroquet vert du Congo trafiqué par les Casques Bleus se vend 800 US$ sur internet. La corne de rhinocéros atteint 100.000 US$/kg, la peau de léopard plus de 30.000 US$. La jeunesse de Bombay se dope au venin de cobra (180.000 US$/l). Isilo, l’éléphant symbole de l’Afrique du Sud, est mort. Ses 2 défenses d’une valeur de 600.000 US$ ont disparu. Les braconniers ont été les premiers à découvrir son corps grâce aux vautours. Les soupçons rôdent. Des gardiens de réserve de jour sont des braconniers la nuit. En même temps que les prix, la violence explose. Les animaux, les voleurs, les rangers tombent. Les trafiquants se tuent entre eux comme les trafiquants de drogue. Les gangs règnent, la gangrène gagne. C’est la guerre. La justice est incohérente. Elle punit pour l’exemple, elle libère sous caution et parfois elle déraille. Les trafiquants sont souvent très jeunes. Les braconniers roulent en BMW. Les techniques pour tuer sont modernes et archaïques à la fois.
Bulletin « A la Trace » n°4
La pègre du braconnage et de la contrebande à la loupe
Voici la 4ème édition de « A la Trace », 112 pages, 468 événements, 352 sources d’information.
(pdf 112 pages – 6,45 Mo)
Les indicateurs virent au rouge. A la bourse des animaux menacés d’extinction les prix s’affolent. La Chine et le marché mondial des animaux de compagnie exotiques pèsent lourd. Le perroquet vert du Congo trafiqué par les Casques Bleus se vend 800 US$ sur internet. La corne de rhinocéros atteint 100.000 US$/kg, la peau de léopard plus de 30.000 US$. La jeunesse de Bombay se dope au venin de cobra (180.000 US$/l). Isilo, l’éléphant symbole de l’Afrique du Sud, est mort. Ses 2 défenses d’une valeur de 600.000 US$ ont disparu. Les braconniers ont été les premiers à découvrir son corps grâce aux vautours. Les soupçons rôdent. Des gardiens de réserve de jour sont des braconniers la nuit. En même temps que les prix, la violence explose. Les animaux, les voleurs, les rangers tombent. Les trafiquants se tuent entre eux comme les trafiquants de drogue. Les gangs règnent, la gangrène gagne. C’est la guerre. La justice est incohérente. Elle punit pour l’exemple, elle libère sous caution et parfois elle déraille. Les trafiquants sont souvent très jeunes. Les braconniers roulent en BMW. Les techniques pour tuer sont modernes et archaïques à la fois.
Bulletin « A la Trace » n°4
La pègre du braconnage et de la contrebande à la loupe
Voici la 4ème édition de « A la Trace », 112 pages, 468 événements, 352 sources d’information.
(pdf 112 pages – 6,45 Mo)
Hippocampes, concombres de mer, coraux, strombes, bénitiers et poissons, pages 3 à 11
Les indicateurs virent au rouge. A la bourse des animaux menacés d’extinction les prix s’affolent. La Chine et le marché mondial des animaux de compagnie exotiques pèsent lourd. Le perroquet vert du Congo trafiqué par les Casques Bleus se vend 800 US$ sur internet. La corne de rhinocéros atteint 100.000 US$/kg, la peau de léopard plus de 30.000 US$. La jeunesse de Bombay se dope au venin de cobra (180.000 US$/l). Isilo, l’éléphant symbole de l’Afrique du Sud, est mort. Ses 2 défenses d’une valeur de 600.000 US$ ont disparu. Les braconniers ont été les premiers à découvrir son corps grâce aux vautours. Les soupçons rôdent. Des gardiens de réserve de jour sont des braconniers la nuit. En même temps que les prix, la violence explose. Les animaux, les voleurs, les rangers tombent. Les trafiquants se tuent entre eux comme les trafiquants de drogue. Les gangs règnent, la gangrène gagne. C’est la guerre. La justice est incohérente. Elle punit pour l’exemple, elle libère sous caution et parfois elle déraille. Les trafiquants sont souvent très jeunes. Les braconniers roulent en BMW. Les techniques pour tuer sont modernes et archaïques à la fois.
Bulletin « A la Trace » n°4
La pègre du braconnage et de la contrebande à la loupe
Voici la 4ème édition de « A la Trace », 112 pages, 468 événements, 352 sources d’information.
(pdf 112 pages – 6,45 Mo)
Rhinocéros et éléphants, pages 62 à 90
Les indicateurs virent au rouge. A la bourse des animaux menacés d’extinction les prix s’affolent. La Chine et le marché mondial des animaux de compagnie exotiques pèsent lourd. Le perroquet vert du Congo trafiqué par les Casques Bleus se vend 800 US$ sur internet. La corne de rhinocéros atteint 100.000 US$/kg, la peau de léopard plus de 30.000 US$. La jeunesse de Bombay se dope au venin de cobra (180.000 US$/l). Isilo, l’éléphant symbole de l’Afrique du Sud, est mort. Ses 2 défenses d’une valeur de 600.000 US$ ont disparu. Les braconniers ont été les premiers à découvrir son corps grâce aux vautours. Les soupçons rôdent. Des gardiens de réserve de jour sont des braconniers la nuit. En même temps que les prix, la violence explose. Les animaux, les voleurs, les rangers tombent. Les trafiquants se tuent entre eux comme les trafiquants de drogue. Les gangs règnent, la gangrène gagne. C’est la guerre. La justice est incohérente. Elle punit pour l’exemple, elle libère sous caution et parfois elle déraille. Les trafiquants sont souvent très jeunes. Les braconniers roulent en BMW. Les techniques pour tuer sont modernes et archaïques à la fois.
Vers un nouveau Tchernobyl ?
28 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, l’Ukraine est confrontée à un chaos politique. Dans ce contexte, la question du fonctionnement de l’industrie nucléaire ukrainienne est dangereusement mise de côté. Il y a 15 réacteurs nucléaires en Ukraine, tous alimentés par du combustible venu de Russie. Ils ont été conçus dans les années 60-70 et ne sont pas conformes aux normes de sécurité et à la réglementation aujourd’hui en vigueur en Ukraine. En 2012, le gouvernement ukrainien a décidé de prolonger de 20 ans l’exploitation de 11 de ses plus vieux réacteurs qui devaient être arrêtés à partir de 2015. Compte tenu des actuelles difficultés politiques et financières, on doute que les fonds nécessaires seront disponibles. D’importants investissements sont indispensables pour garantir la protection radiologique des travailleurs chargés de l’adaptation des sites de même que la sûreté des réacteurs au-delà de la durée de vie initialement prévue. Les prolongations d’activité des réacteurs sont financées par la communauté internationale en particulier la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD). Ces extensions d’exploitation n’ont pas fait l’objet d’enquête publique quant à leur impact environnemental et ne sont pas conformes à la Convention d’Espoo sur les impacts sanitaires et environnementaux des projets industriels dans un contexte transfrontière.
Des milliers d’animaux menacés d’extinction sont partis en fumée
Au moins 15.000 animaux exotiques destinés au marché des Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC) sont morts dans l’incendie de l’entrepôt de Savannah Reptiles Planet à Saint-Sulpice-la-Pointe dans le département du Tarn.
Les boas des sables, les boas constrictors, les pythons royaux, les caméléons panthère, les iguanes communs, les tortues d’Hermann, les tortues feuilles d’Asie, les tortues léopard du Cap, les tortues sillonnées du Sahel, les grenouilles phyllobate et dendrobate sont inscrits à l’Annexe II de la CITES, Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. L’Annexe II réglemente le commerce international.
Bulletin « A la Casse » n°35
Bulletin d’information et d’analyses sur la démolition des navires
L’enquête généalogique de Robin des Bois et la comparaison des photos du Zanoobia et Cosette montrent qu’il s’agit bien du même navire. Le Zanoobia est en quelque sorte le fondateur de la Convention de Bâle sur le contrôle des mouvements transfrontaliers de déchets dangereux et de leur élimination. La France et la Martinique ont hérité d’une épave historique. Le préfet hésite entre torpillage et immersion ou démolition. La première option est d’un usage courant dans les outre-mers français, la dernière serait une innovation.
Le poker venteur
Assises Nationales des Energies Marines Renouvelables. 8-9-10 avril. Cherbourg.
Nous avons dégradé le littoral. Allons nous maintenant transformer la mer côtière en zone industrielle ?
Les éoliennes offshore font couler beaucoup d’encre, de promesses incertaines et de risques certains pour la biodiversité, les activités de pêche et la sécurité maritime.
La fuite en avant des faiseurs de miracles débouche sur le gigantisme.
A peine l’Haliade 150 d’Alstom est elle implantée à terre sur un site pilote en bord de Loire que des usines de production sont promises à Cherbourg et à Saint Nazaire, que des milliers d’emplois virtuels sont créés et que 288 monstres marins de 175 m de haut et 150 m de diamètre s’imposent en baie de Seine, en face de Fécamp et de Saint-Nazaire.
Une science trop létale
Baleines : Jugement de la Cour Internationale de Justice
La Cour Internationale de Justice condamne le Japon à suspendre son programme de chasse à la baleine JARPA II et donc toutes ses activités baleinières en Antarctique. Depuis 1987, le Japon a tué plus de 10.000 baleines dans l’océan Austral.
La Cour dans son arrêt rendu ce matin à La Haye estime que le programme de chasse « scientifique » dans l’océan Austral tel qu’il est conçu et mené par le Japon implique un nombre disproportionné de captures et de mises à mort de baleines.
Selon la Cour, le Japon n’a pas fourni d’explications suffisantes pour justifier les méthodes létales notamment à l’égard des petits rorquals. La Cour a noté que le nombre de baleines tuées dans le cadre de la chasse scientifique japonaise s’explique en fait par des raisons financières. Le produit du traitement des baleines – c’est à dire la commercialisation de la viande – permet de financer la campagne de chasse par le navire-usine Nisshin Maru et les navires auxiliaires.
Une science trop létale
La Cour Internationale de Justice condamne le Japon à suspendre son programme de chasse à la baleine JARPA II et donc toutes ses activités baleinières en Antarctique. Depuis 1987, le Japon a tué plus de 10.000 baleines dans l’océan Austral.
La Cour dans son arrêt rendu ce matin à La Haye estime que le programme de chasse « scientifique » dans l’océan Austral tel qu’il est conçu et mené par le Japon implique un nombre disproportionné de captures et de mises à mort de baleines.
Selon la Cour, le Japon n’a pas fourni d’explications suffisantes pour justifier les méthodes létales notamment à l’égard des petits rorquals. La Cour a noté que le nombre de baleines tuées dans le cadre de la chasse scientifique japonaise s’explique en fait par des raisons financières. Le produit du traitement des baleines – c’est à dire la commercialisation de la viande – permet de financer la campagne de chasse par le navire-usine Nisshin Maru et les navires auxiliaires.