Résultat de la recherche pour "on the trail"

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

30 mars 2021

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo

Lire la suite

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

30 mars 2021

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo

Lire la suite

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

30 mars 2021

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo

Lire la suite

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

30 mars 2021

« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo

Lire la suite

Assassinats dans le parc national d’Arly au Burkina Faso

28 avril 2021

Assassinats dans le parc national d’Arly au Burkina Faso
Rory Young, cofondateur et directeur exécutif de Chengeta Wildlife, David Beriáin et Roberto Fraile, reporters espagnols, ont été assassinés le 26 avril 2021 dans le parc national d’Arly au Burkina Faso alors qu’ils participaient à une patrouille anti braconnage avec des soldats et des rangers. Un Burkinabé est toujours porté disparu. Le parc d’Arly abrite notamment des éléphants, des lions et des léopards. En 2015, Robin des Bois saluait le travail de Rory Young dans son bulletin « A la Trace » dédié au braconnage et à la contrebande. Extrait de « A la Trace » n°9 p.75:
Arrestation de 81 suspects de braconnage. Malawi. Mai 2015. Rory Young est un spécialiste de la lutte anti braconnage. Engagé très jeune dans la Légion Étrangère en France puis ranger garde forestier au Zimbabwe après un apprentissage de 5 années, Rory Young n’est pas un va-t-en-guerre. En mission au Malawi, il aide les gardes faune du pays à exploiter avec un maximum d’efficacité les maigres ressources logistiques dont ils disposent. 33 braconniers ont été interpellés en 15 jours au mois d’avril autour de Livonde par 30 gardes disposant d’un véhicule et demi et d’une vieille barque. Une prouesse comparée aux 28 arrestations pendant tout le mois d’avril dans le Parc Kruger surveillé par des milliers de gardes, des drones, des hélicoptères et d’une certaine manière par des milliers de touristes.
Lire la suite

Saisie record de tortues au Burkina Faso

11 juin 2021

Saisie record de tortues au Burkina Faso

Mardi 8 juin, 555 tortues sillonnées juvéniles ont été sauvées du trafic international par les douaniers à Koudougou, province de Boulkiemdé. Elles étaient cachées dans la soute à bagages d’un autobus reliant Bamako au Mali et Lomé au Togo. Elles étaient réparties dans des caisses en bois, en carton et dans des sacs en toile et en plastique. De faux permis CITES accompagnaient la cargaison. La CITES est la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Les tortues sillonnées sont inscrites en Annexe II. Leur commerce international reste autorisé. Des permis d’exportation sont exigés. La saisie est le fruit d’une coopération entre les douanes du Mali et les douanes du Burkina Faso.

Lire la suite

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

6 août 2021

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°30 – juillet, août et septembre 2020
1040 évènements sourcés, accompagnés d’analyses, de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques.
201 pages (pdf), 12 Mo

« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.

Lire la suite

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

6 août 2021

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°30 – juillet, août et septembre 2020
1040 évènements sourcés, accompagnés d’analyses, de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques.
201 pages (pdf), 12 Mo

« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.

Lire la suite

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

6 août 2021

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°30 – juillet, août et septembre 2020
1040 évènements sourcés, accompagnés d’analyses, de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques.
201 pages (pdf), 12 Mo

« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.

Lire la suite

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

6 août 2021

A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation

A la Trace n°30 – juillet, août et septembre 2020
1040 évènements sourcés, accompagnés d’analyses, de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques.
201 pages (pdf), 12 Mo

« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.

Lire la suite