Une contre-expertise pour le Tango D
Robin des Bois demande une contre-expertise sur l’aptitude à la navigation du Tango D. L’ex- Kifangondo a fait l’objet dans le port de Dunkerque d’inspections visuelles. Un inspecteur des Affaires Maritimes a parcouru les superstructures, un autre les cales et les compartiments machines. Ces visites de routine se sont déroulées à quai.
Deux experts polonais montés à bord entre le Havre et Dunkerque ont signé les certificats de navigabilité. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le trajet entre le Havre et Dunkerque à l’intérieur du dispositif de navigation le plus utilisé du monde a servi de banc d’essai. L’efficacité des ancres du navire a été vérifiée seulement à l’arrivée à Dunkerque, selon les déclarations du capitaine grec à deux membres de Robin des Bois.
Une contre-expertise pour le Tango D
Robin des Bois demande une contre-expertise sur l’aptitude à la navigation du Tango D. L’ex- Kifangondo a fait l’objet dans le port de Dunkerque d’inspections visuelles. Un inspecteur des Affaires Maritimes a parcouru les superstructures, un autre les cales et les compartiments machines. Ces visites de routine se sont déroulées à quai.
Deux experts polonais montés à bord entre le Havre et Dunkerque ont signé les certificats de navigabilité. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le trajet entre le Havre et Dunkerque à l’intérieur du dispositif de navigation le plus utilisé du monde a servi de banc d’essai. L’efficacité des ancres du navire a été vérifiée seulement à l’arrivée à Dunkerque, selon les déclarations du capitaine grec à deux membres de Robin des Bois.
Nous sommes tous des marins du tiers-monde
L’organisation mondiale du commerce maritime fait ses ravages en France et met en danger l’environnement marin (Junior M) et la sécurité maritime (Kifangondo). Deux affaires qui simultanément mettent en jeu des navires-poubelles et démontrent l’incapacité de la France à se protéger des effets pervers d’un commerce maritime mondial gangrené par les armateurs véreux, les pavillons de complaisance, les navires vétustes et la course à la rentabilité.
MSC ROSA. M – le bateau qui revient de loin
Le Havre
Evacué par les 22 membres d’équipage le 30 novembre, au large du port de Barfleur, le ROSA. M est revenu au port du Havre, à l’aube du 14 décembre. Tous feux éteints, le ROSA. M était pris en charge et escorté par 5 remorqueurs du port, plus l’Abeille Champagne. Le compartiment des machines est hors d’usage.
Le Havre : alerte bactériologique sur la plage
Dans le cadre de la réalisation d’un bassin de stockage des eaux usées et pluviales de la ville du Havre, il est procédé depuis une semaine environ à l’extraction des boues de l’Anse des Régates à l’intérieur du port des yachts, dépendant du port de plaisance du Havre. Ces milliers de tonnes de boues sont évacuées par canalisation flexible et déversées depuis la digue Nord à quelques dizaines de mètres de la plage et de la Promenade des Régates.
Les boues sont susceptibles de contenir une grande variété d’organismes pathogènes : virus (hépatite infectieuse), bactéries (salmonella), champignons, vibrions (vibrio cholerae, agent du choléra ; vibrio parahaemolyticus, agent de gastro-entérites), apportés par les rejets urbains, les eaux de ruissellement, les rejets des bateaux ainsi qu’une charge en micro-polluants chimiques.