La « chasse scientifique » japonaise s’appelle de son vrai nom « chasse commerciale »
Note d’information n°3
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience de l’Australie, 26-28 juin
Au nom de l’Australie, M. Campbell a illustré sa déclaration d’ouverture par une photo. Sur celle ci, il y avait le navire usine japonais avec en grosses lettres sur le côté le slogan suivant : « Recherche scientifique sous le contrôle de l’ICRW (1) ». Il y avait aussi une baleine morte à l’arrière du navire. L’Australie perçoit cette image et ce langage comme la tentative pour le Japon de se convaincre lui- même qu’il participe à une démarche scientifique et que donc il respecte la loi. La communauté internationale et plus spécifiquement la communauté scientifique internationale n’en est pas convaincue.
La fin du conte de fée japonais
Note d’information n°2
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience de l’Australie, 26-28 juin
Pendant les trois premiers jours des audiences dans le litige qui oppose l’Australie et le Japon devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas, l’Australie a clamé haut et fort ses arguments dans l’espoir « de réveiller le Japon endormi depuis plus de 20 ans dans une confortable inertie telle la Belle au Bois dormant ». La communauté internationale ne doit pas attendre que surgisse un nouveau Moby Dick pour mettre le Japon en alerte. Mme Boisson De Chazournes, avocate française s’exprimant au nom du gouvernement australien, a usé de ces métaphores quand elle a exposé à la Cour l’interprétation que fait le Japon des préambules et articles du traité fondateur de la Commission Baleinière Internationale. Elle a déclaré que contrairement à la lecture nippone du texte original datant de 1946, la Commission Baleinière pèse en faveur de la protection des baleines plus qu’elle ne favorise les activités de chasse commerciale. Concernant la violation de la loi internationale et la poursuite de la chasse aux baleines par le Japon, l’argumentation australienne s’appuie sur 3 piliers :
La fin du conte de fée japonais
Note d’information n°2
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience de l’Australie, 26-28 juin
Pendant les trois premiers jours des audiences dans le litige qui oppose l’Australie et le Japon devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas, l’Australie a clamé haut et fort ses arguments dans l’espoir « de réveiller le Japon endormi depuis plus de 20 ans dans une confortable inertie telle la Belle au Bois dormant ». La communauté internationale ne doit pas attendre que surgisse un nouveau Moby Dick pour mettre le Japon en alerte. Mme Boisson De Chazournes, avocate française s’exprimant au nom du gouvernement australien, a usé de ces métaphores quand elle a exposé à la Cour l’interprétation que fait le Japon des préambules et articles du traité fondateur de la Commission Baleinière Internationale. Elle a déclaré que contrairement à la lecture nippone du texte original datant de 1946, la Commission Baleinière pèse en faveur de la protection des baleines plus qu’elle ne favorise les activités de chasse commerciale. Concernant la violation de la loi internationale et la poursuite de la chasse aux baleines par le Japon, l’argumentation australienne s’appuie sur 3 piliers :
Naufrage de la partie arrière du MOL Comfort
Accident du MOL Comfort
Note d’information n°6
La partie arrière du Mol Comfort vient de couler par une latitude de 46°26’’ Nord et une longitude de 66°26’’ Est, soit à 750 km des côtes indiennes. Selon l’armateur elle contenait encore 1.700 conteneurs ; les autres sont déjà tombés à la mer, dérivent et constituent un danger pour la navigation. Elle contenait aussi 1.500 tonnes de fioul de propulsion qui vont polluer des eaux abondantes en thonidés, en sardines, en requins et en crustacés.
La partie avant est à l’heure actuelle remorquée vers le Sultanat d’Oman.
Flottement pour le MOL Competence
Accident du MOL Comfort
Note d’information n°5
Le Mol Competence, sister ship du porte-conteneurs géant coupé en deux en mer d’Oman le 17 juin, est toujours dans les parages du Havre. Il fait des ronds dans l’eau.
En même temps par mesure de précaution, l’armateur Mitsui Osk Lines (MOL) entend renforcer les coques des porte-conteneurs de la même série dans les meilleurs délais. Les navires vont donc être provisoirement retirés de l’exploitation et les rotations des porte-conteneurs de MOL vont être évidemment aménagées.
Un nouveau scandale immobilier
Des dispositions innovantes sur la protection juridique et sanitaire des locataires ou propriétaires d’immeubles bâtis sur des friches industrielles et des sols initialement pollués ont été retirées du projet de loi relatif au logement, à l’urbanisme et à la ville à la suite d’arbitrages ministériels décevants.
Des zones dites de vigilance étaient planifiées. Elles auraient permis aux promoteurs et aux acquéreurs de bien connaître l’état des sols, de mettre en œuvre toutes les mesures nécessaires à la dépollution et à la prévention des risques sanitaires et au final d’en vérifier l’application.
Australie contre Japon
Note d’information n°1
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
L’Australie se fait porte-parole des baleines en attaquant la « chasse scientifique » japonaise devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas. Les auditions du dossier « Chasse à la Baleine dans l’Antarctique » (Australie c. Japon ; Nouvelle Zélande intervenant) vont se dérouler pendant 3 semaines. L’arrêt sera rendu d’ici 4 à 8 mois. L’Australie espère que la décision sera prise d’ici 5 mois, avant la prochaine saison de chasse dans l’Océan Austral.
Australie contre Japon
Note d’information n°1
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
L’Australie se fait porte-parole des baleines en attaquant la « chasse scientifique » japonaise devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas. Les auditions du dossier « Chasse à la Baleine dans l’Antarctique » (Australie c. Japon ; Nouvelle Zélande intervenant) vont se dérouler pendant 3 semaines. L’arrêt sera rendu d’ici 4 à 8 mois. L’Australie espère que la décision sera prise d’ici 5 mois, avant la prochaine saison de chasse dans l’Océan Austral.
Une décision positive de Mitsui Osk Lines
Accident du MOL Comfort (suite)
La partie avant du MOL Comfort se rapproche du littoral indien. Si elle suit sa trajectoire elle pourrait s’échouer au sud de Mumbai d’ici la fin de la semaine. L’épave avant parcourt une centaine de km par jour. L’épave arrière progresse moins rapidement – environ 75 km/jour – mais dans la même direction. Les opérations de remorquage n’ont pas commencé.
Le 20 juin, Robin des Bois a demandé à l’ensemble des parties prenantes MOL Mitsui Osk Line, OMI, Union Européenne, les pays riverains de la mer d’Oman, la France, d’immobiliser les sisterships du MOL Comfort pour identifier les causes de l’accident jusqu’alors inexpliquées.
L’effet baguette
Accident du MOL Comfort
Objet : MOL Competence, naufrage en Baie de Seine ou dans le Golfe de Gascogne ?
Ce porte-conteneurs est dangereux. Construit à Nagasaki en 2008, c’est l’un des frères jumeaux du MOL Comfort qui s’est brisé en deux le 17 juin en mer d’Oman pour des raisons inexpliquées.