« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo
« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo
« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo
« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo
« A la Trace » n°29 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°29 – avril, mai et juin 2020
990 évènements sourcés, accompagnés d’analyses,
de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques
182 pages (pdf), 11.6 Mo
Un Lubrizol agricole évité de justesse
L’incendie survenu hier, dimanche après-midi, dans une exploitation agricole de Mont-Cauvaire en Seine-Maritime à 18 km de Rouen souligne encore une fois la gestion hasardeuse des engrais à base de nitrate d’ammonium. La dangerosité de cette substance n’est plus à démontrer. En cas d’incendie, elle explose occasionnellement et elle pollue irrémédiablement l’air et les eaux superficielles.
Après la catastrophe de Beyrouth, le ministère de la Transition Ecologique et le ministère de l’Economie ont mis en place une mission nitrate d’ammonium dont les constats et les recommandations seront disponibles d’ici un à deux mois.
Le tour de la Med en 92 jours et 12.000 km
Les sans-chênes
Notre-Dame de Paris
Communiqué n°15
Il faut en abattre 2360 pour accomplir la volonté divine des conservateurs des monuments historiques. Jusqu’alors, les chasseurs de chênes en ont repéré 1097. L’Établissement public chargé de la reconstitution de Notre-Dame de Paris n’exclut pas de devoir recourir à des fournisseurs étrangers. Faudra-t-il en dernier recours user de la diplomatie et faire revenir quelques fûts scandaleusement exportés en Chine pour 3000-4000 euros alors que les chênes rendent à la nature des services inestimables ?
Les sans-chênes
Notre-Dame de Paris
Communiqué n°15
Il faut en abattre 2360 pour accomplir la volonté divine des conservateurs des monuments historiques. Jusqu’alors, les chasseurs de chênes en ont repéré 1097. L’Établissement public chargé de la reconstitution de Notre-Dame de Paris n’exclut pas de devoir recourir à des fournisseurs étrangers. Faudra-t-il en dernier recours user de la diplomatie et faire revenir quelques fûts scandaleusement exportés en Chine pour 3000-4000 euros alors que les chênes rendent à la nature des services inestimables ?