Balisage

Quatre militants des organisations écologistes Robin des Bois et Greenpeace se sont introduits en canoës dans l’arsenal de Cherbourg jusqu’à la grue flottante qui devrait servir au chargement de 1,5 tonne de plutonium à destination du Japon. Ils ont déployé un symbole radioactif et sont restés en place jusqu’à l’intervention des forces de l’ordre. Les canoës ont été arraisonnés et les 4 antinucléaires sont en état d’arrestation.

Par cette action, Robin des Bois et Greenpeace rappellent leur détermination à obtenir l’annulation du transport du plutonium dont la date prévue a déjà été repoussée deux fois.

Quatre militants des organisations écologistes Robin des Bois et Greenpeace se sont introduits en canoës dans l’arsenal de Cherbourg jusqu’à la grue flottante qui devrait servir au chargement de 1,5 tonne de plutonium à destination du Japon. Ils ont déployé un symbole radioactif et sont restés en place jusqu’à l’intervention des forces de l’ordre. Les canoës ont été arraisonnés et les 4 antinucléaires sont en état d’arrestation.

Par cette action, Robin des Bois et Greenpeace rappellent leur détermination à obtenir l’annulation du transport du plutonium dont la date prévue a déjà été repoussée deux fois.

Quatre militants des organisations écologistes Robin des Bois et Greenpeace se sont introduits en canoës dans l’arsenal de Cherbourg jusqu’à la grue flottante qui devrait servir au chargement de 1,5 tonne de plutonium à destination du Japon. Ils ont déployé un symbole radioactif et sont restés en place jusqu’à l’intervention des forces de l’ordre. Les canoës ont été arraisonnés et les 4 antinucléaires sont en état d’arrestation.

Par cette action, Robin des Bois et Greenpeace rappellent leur détermination à obtenir l’annulation du transport du plutonium dont la date prévue a déjà été repoussée deux fois.

1,7 T de plutonium sur un bateau construit en 1980 et retapé par les japonais. Avant d’être embarqué sur le port de Cherbourg, le plutonium réparti sur 17 camions, traversera La Hague et l’agglomération de Cherbourg.

Le voyage par mer pourra durer plusieurs mois puisque le Plutonic a une autonomie de 100 jours.

La Cogéma prétend que “l’itinéraire confidentiel” sera “exempt de risques naturels”.

Ce n’est pas à vous, cherbourgeois, qu’on fera croire que la mer est télécommandable. Tout peut arriver. Le Titanic, réputé invincible a fait naufrage en avril 1912, 3 jours après avoir quitté Cherbourg.

1,7 T de plutonium sur un bateau construit en 1980 et retapé par les japonais. Avant d’être embarqué sur le port de Cherbourg, le plutonium réparti sur 17 camions, traversera La Hague et l’agglomération de Cherbourg.

Le voyage par mer pourra durer plusieurs mois puisque le Plutonic a une autonomie de 100 jours.

La Cogéma prétend que “l’itinéraire confidentiel” sera “exempt de risques naturels”.

Ce n’est pas à vous, cherbourgeois, qu’on fera croire que la mer est télécommandable. Tout peut arriver. Le Titanic, réputé invincible a fait naufrage en avril 1912, 3 jours après avoir quitté Cherbourg.

1,7 T de plutonium sur un bateau construit en 1980 et retapé par les japonais. Avant d’être embarqué sur le port de Cherbourg, le plutonium réparti sur 17 camions, traversera La Hague et l’agglomération de Cherbourg.

Le voyage par mer pourra durer plusieurs mois puisque le Plutonic a une autonomie de 100 jours.

La Cogéma prétend que “l’itinéraire confidentiel” sera “exempt de risques naturels”.

Ce n’est pas à vous, cherbourgeois, qu’on fera croire que la mer est télécommandable. Tout peut arriver. Le Titanic, réputé invincible a fait naufrage en avril 1912, 3 jours après avoir quitté Cherbourg.

journal de Robin des Bois – octobre 1992 (3.6 Mo)

– Voyage du Plutonic

– Seaborg, le plutonium boy page 2

– La première application industrielle du plutonium page 4

– Seaborg, le défi page 6

– La fausse aire nucléaire page 8

– Seaborg, le retour page 12

– Traité de prolifération nucléaire page 13

– Départ du Plutonic page 14

Lettre ouverte à M. Bianco, Ministre des Transports

Objet : tunnel du Somport, action de Robin des Bois devant le ministère des Transports.

Monsieur,

Peut-être que dans votre ministère vous entendez assez peu parler “d’environnement”, de “sauvegarde des paysages”, d’espèces menacées d’extinction”. Nous savons cependant que vous n’êtes pas insensible à l’écologie depuis que vous avez signé, alors que vous étiez Secrétaire Général de l’Elysée, une pétition contre le projet Géofix de stockage souterrain de déchets dans le massif du Lubéron et près de votre fief politique de Forcalquier. Quel dommage que vous n’ayez pas de pied à terre dans la vallée d’Aspe et près du tunnel en projet du Somport.

Objet : En guise de protestation contre le projet de tunnel du Somport à travers les Pyrénées, Robin des Bois ouvre le chantier du tunnel du Gros Port devant les bâtiments du Ministère des Transports, Boulevard St Germain à Paris.

La vallée d’Aspe vit. Elle est belle, elle fleurit, il y a des hôtels des Voyageurs, des auberges du Gave, des maisons à balcons, des géraniums à fleur d’eau qui dégringolent de partout ; et là-haut, à gauche, à droite, au milieu, il y a des montagnes vertes pleines de pierres blanches et rondes. En vérité, ce sont des moutons par milliers et dans la vallée, on les entend tinter et déambuler. Il y a aussi, pas très haut, quelques ours qui de temps en temps se mangent une brebis, parmi des milliers de brebis, qui, quand elles ne sont pas mangées par les ours, font du fromage vendu dans la vallée.

La rafle du Vel d’Hiv ne serait rien à côté “du massacre silencieux des dauphins” (Figaro) dans des “filets de la mort” (Var Matin), des “chambres de la mort” (France Soir), dont M. Mike Riddel a cru déceler la présence en Méditerranée à partir de témoignages évasifs d’un membre d’équipage d’un bâtiment de la Marine Nationale.

Des filets dérivants de 110 km de long, ça se remarque, ça se photographie, d’autant que les bateaux qui les stockent ou les déploient font 100 à 150 mètres de long. Au demeurant, si 4 bateaux “asiatiques” pêchaient au filet dérivant de 110 km, ça ferait 440 km de filet, soit 40 fois moins que les filets dérivants utilisés par les Italiens pour pêcher l’espadon.